(©SL / actu Paris)
Pierre-Christophe Baguet :
- Arbres et végétaux seront systématiquement plantés dans les rues de Boulogne-Billancourt quand les contraintes d’en- fouissement des réseaux et d’accessibilité le permettront afin de désimperméabiliser les sols (retirer du bitume), créer des îlots de fraîcheur et des corridors verts Nord / Sud et Est / Ouest reliés à la Seine, des rues vertes seront créées ;
- Insertion dans les documents d’urbanisme de dispositions incitant les bailleurs et promoteurs immobiliers à végétaliser et favoriser l’agriculture urbaine sur les toi- tures d’immeubles collectifs, à partir de.... la suite sur actu.fr
Evangelos Vatzias :
- Créer une brigade de l’environnement regroupant agents de la police municipale, agents de sécurité de la voie publique, opérateurs vidéo, et autres personnels assermentés : lutte contre les dépôts sauvages, les déjections canines, les nuisances sonores et autres incivilités. Pédagogie et communication accompagneront une verbalisation renforcée ;
- Végétalisation des cours d’écoles et des grands axes départementaux ;
- Création des rues jardins ;
- Projets de verdissement d’espaces publics ou privés ;
- Repenser les berges de Seine comme un espace de vie, pour les piétons et les cyclistes, propice aux activités sportives et nautiques, aux promenades et aux sorties nocturnes ;
- Viser à la neutralité carboned’ici 2050 : Tous les programmes de...la suite sur actu.fr
Judith Shan :
Réponse adressée par email par la candidate
- Introduction de bacs blancs pour la collecte plus régulière du verre ;
- Passage progressif à un système de pesage ou comptage des conteneurs par un code barre au moment de l’enlèvement par camion ;
- Déploiement des corbeilles compactantes dans la rue ;
- Organisation d’une collecte des cartons des entreprises et commerces dans la ville ;
- Boulogne-Billancourt rejoindra le réseau des villes labellisées «zéro déchet». L’engagement de la ville d’ici 2025 devra être d’atteindre 75% de collecte séparée et de diminuer à 60 kg par an et par habitant la quantité de déchets résiduels. Une proposition d’expérimentation sera proposée aux ensembles d’habitation sur la base du volontariat dès 2020 afin de déterminer une modélisation avant un passage à plus grande échelle.
- Par ailleurs, la collecte de encombrants qui passent tous les jours de la semaine sur des zones géographiques différentes introduit une complexité qui entraîne beaucoup d’incivilités. Le système... le suite sur actu.fr
Pauline Rapilly-Ferniot :
- Verdir tous les espaces publics (la Rue Galléni pourrait par exemple être transformée en ligne verte traversant une grande partie de la ville) même les plus petits, en installant des bandes de terre sur les trottoirs, en multipliant la plantation d’arbres diversifiés et fruitiers, en instaurant des ″permis de végétaliser″, en créant des jardins partagés, en préservant, valorisant et re-naturant les friches ;
- Préserver voire créer un maximum d’espaces verts naturels et pédagogiques sur l’île Seguin ;
- Mettre en place un projet participatif avec les riverains afin de créer un lieu pédagogique autour de la nature et de la biodiversité sur la place Bir Hakeim (à la place de l’actuel projet de stade 5 000 places) ;
- Végétaliser les murs aveugles (tout particulièrement orientés sud), les toits terrasses d’immeubles et les façades qui le permettent grâce à des plantes grimpantes ou des murs végétalisés ;
- Inciter au verdissement des balcons et terrasses, mettre en place des foires de troc de plantes et de graines une fois par mois ;
- Gérer les parcs de façon écologique et maintenir des friches sauvages permettant de favoriser la biodiversité et de préserver des zones de reproduction des différentes espèces animales (par exemple la friche du terrain des canadiens, situé entre l’avenue Anatole France et le parc Rothschild) ;
- Aider au retour et au maintien des insectes pollinisateurs dans l’espace urbain : implanter des ruches d’abeilles sauvages, semer des espèces mellifères ;
- Végétaliser les berges de Seine pour restaurer des zones d’infiltration, limiter le risque d’inondation, optimiser l’effet de ventilation et de rafraîchissement de la Seine en été, se réapproprier un espace de vie ;
- Généraliser la récupération des eaux de pluie dans le parc bâti ancien, pour irriguer les espaces verts et créer des fontaines qui contribuent au rafraîchissement de l’air ;
- Mettre en place la tarification incitative en lien avec le GPSO permettant une réduction de la TEOM pour celles et ceux produisant moins de déchets (en impliquant la population dans l’élaboration de la grille tarifaire, en développant des solutions pour trier ou réduire ses déchets, en renforçant l’équipe de police verte dédiée au contrôle des dépôts sauvages durant les premiers mois, en prévoyant un retour d’information aux habitants fréquent et précis) ;
- Élaborer un véritable plan de gestion des déchets organiques, en lien avec le GPSO : étendre à Boulogne-Billancourt le test de la collecte des déchets alimentaires actuellement en cours sur Ville-d’Avray et Marnes-la-Coquette et dans 10 écoles (et profiter de l’offre du Syctom permettant à ses collectivités adhérentes d’expérimenter cette collecte jusqu’en mars 2021) ;
- Développer les points de compostage collectif dans les cours, les jardins publics et les résidences ;
- Promouvoir la gestion séparée des biodéchets chez les commerçants et restaurateurs, en lien avec les structures existantes sur le territoire, appliquer le tri à la source des biodéchets dans les bâtiments administratifs ;
- Supprimer l’usage du plastique unique et des emballages jetables dans les bâtiments publics et dans le cadre des occupations du domaine public (terrasses de café, manifestations, évènements sportifs, culturels, musicaux…), soutenir les possibilités de réintroduction des systèmes de consigne et de mise en place de contenants consignés réutilisables standardisés pour les établissements de vente à emporter ;
- Implanter une ressourcerie – recyclerie, et un atelier de réparation et de mutualisation d’outils ;
- Encourager et favoriser les entreprises, associations, initiatives visant la vente en vrac, l’économie circulaire, la préservation des ressources et la réduction des déchets ;
- S’attaquer au gaspillage alimentaire : réalisation de pesées dans les cantines des établissements publics comme les écoles, temps d’activité périscolaire dédiés au thème de l’alimentation et du gaspillage alimentaire ;
- Développement de solutions pour redistribuer les invendus alimentaires des commerçants (en lien avec les associations et les structures existantes) ;
- Mise en place d’un conseil local ayant pour vocation de rendre les politiques et pratiques alimentaires plus durables et d’identifier les pistes d’action visant tous types d’activités ;
- Renforcer le tri à la source par l’installation de points de collecte pédagogiques sur l’espace public et une meilleure information ;
- Lors des commandes publiques de fournitures, services et travaux : prendre en compte les critères environnementaux, la notion de coût du cycle de vie, les impacts sur les ressources naturelles, les flux de déchets pouvant être générés ;
- Promouvoir les textiles sanitaires réutilisables ;
- Développer des actions de sensibilisation et de formation à la réduction des déchets : défis famille zéro déchet, ateliers dans les écoles sur la réduction et le tri des déchets, cours de couture, cuisine, bricolage à l’école, etc ;
- Orienter la gestion de la propreté publique sur la prévention et la sensibilisation, et renforcer la police verte ;
- Aider à la rénovation et à l’isolation des passoires thermiques en lien avec GPSO Énergie ;
- Adopter un plan de rénovation énergétique pour le mandat visant à réduire de 40 % les consommations d’énergie en 2030 en ciblant en priorité les logements occupés par des ménages précaires et en mettant des moyens financiers pour l’accompagnement des ménages ;
- Faire respecter les lois en vigueur sur la pollution lumineuse nocturne (vitrines et éclairage public) ;
- Viser la sobriété en diminuant la consommation d’énergie dans les bâtiments publics ;
- Réduire la flotte de véhicules municipaux aux seuls services techniques, supprimer les véhicules de fonction qui peuvent être remplacés par un autre mode de transport ;
- Développer les réseaux de chaleur existants, et étudier les autres possibilités (comme le solaire thermique) ;
- Viser un objectif de 100% de bio dans la restauration collective, y compris les écoles. Privilégier une alimentation saine, bio, locale, de saison et végétale. Nous mettrons en place une alternative végétalienne quotidienne et 2 repas végétariens par semaine ;
- Mettre en place ou participer à un Projet Alimentaire Territorial (PAT) prenant en compte la résilience alimentaire et appuyant la structuration de filières paysannes, biologiques et locales, rémunératrices pour les agriculteurs et agricultrices ;
- Soutenir la création de jardins partagés dans les résidences et copropriétés ;
- Nous nous engageons à mettre en place la transition vers des cantines sans plastique ;
- Créer une délégation « condition animale » ;
- Créer une clause « bien-être animal » dans les marchés publics ;
- Mettre en place un programme de stérilisation « chats libres » et sensibiliser les habitant·e·s à la stérilisation et à l’abandon des chats domestiques ;
- Inscrire l’éducation à l’éthique animale et le respect du vivant dès l’âge de 5 ans comme l’une des priorités du Projet Éducatif Territorial (PEDT) ;
- Accompagner la création de refuges et de pensions pour animaux par l’allocation de terrains communaux ou par subventions ;
- Créer une école du chien en ville (cours de comportement).
Antoine de Jerphanion :
Réponse issue du programme mis en ligne par le candidat
- Lutter contre les incivilités avec la création d’une police verte efficace
- Utiliser du mobilier urbain intelligent pour en finir avec les poubelles qui débordent
- Rendre plus visibles les poubelles dans l’espace public
- Installer des cendriers et des poubelles de tri-sélectif dans tous les quartiers
- Expérimenter le ramassage des encombrants à la demande grâce un compte-usagers multi services.
- Inscrire la mairie dans une démarche zéro-déchet
- Privilégier l’économie circulaire dans...la suite sur actu.fr
Isabelle Goitia :
- Mise en place de la consigne (collecte de récipients et produits usagés) dans notre ville (bouteilles en verre, canettes en métal et piles) ;
- Mise en place un système compost municipal, accessible à la fois pour les besoins des habitants et ceux des espaces verts municipaux ;
- Mise mettrons en place une recyclerie-ressourcerie, qui permettra de redonner vie à des meubles, quelques appareils et autres objets. Un tel lieu pourra à terme être assorti d’un Repair Café ainsi que d’un lieu pour les makers, pour aller plus loin.
- Créer une ceinture maraichère autour de Paris avec l’objectif de fournir une partie des habitant·e·s de l’IDF en fruits et légumes ;
- Développer la nature en ville avec la végétalisation des bâtiments, places, toits…
- Développer les jardins partagés pour favoriser les vivre ensemble et le lien social intergénérationnel ;
- Développer une zone d’agriculture urbaine ;
- Gérer les bio-déchets et déchets, avoir des composts publics. Encourager le ramassage des bio-déchets en porte à porte. Favoriser les consignes (bouteilles en plastique, canettes…).
- Développer les zones de fraîcheur, les cours oasis dans les écoles ;
- Prendre un arrêté Zéro pesticide pour tous les espaces...la suite sur actu.fr