Pauline, 24 ans, est chargée de mission développement durable à la Mairie de Bondy.
Boulonnaise depuis sa naissance, elle a toujours voulu s’engager pour les autres et pour « sauver la planète ».
Ses études d’histoire et de sciences politiques la conduisent à l’ONU à plusieurs occasions (Commission on the Status of Women à l’ONU New York et négociations sur le Pacte mondial pour l’environnement à l’ONU Nairobi).
De retour en France, en octobre 2018, elle rejoint Europe Ecologie Les Verts, inspirée par les politiques sociales et écologistes de Damien Carême à Grande Synthe et Eric Piolle à Grenoble. Tout en s’investissant dans le parti, elle continue de participer à des actions de désobéissance civile non violente pour le climat. Aujourd’hui elle conduit la liste L’Écologie pour Boulogne Billancourt, composée d’écologistes de différents partis et de citoyen·ne·s.
“Ma génération est parfois réticente à l’engagement au sein d’un parti politique. On préfère les actions plus directes contre des projets polluants ou climaticides. Pour moi ce n’est pas incompatible, il y a un continuum entre la désobéissance civile et l’action dans les institutions. Aujourd’hui nous ne voulons plus influencer nos décideurs, nous voulons les remplacer.”
Boulonnaise depuis sa naissance, elle a toujours voulu s’engager pour les autres et pour « sauver la planète ».
Ses études d’histoire et de sciences politiques la conduisent à l’ONU à plusieurs occasions (Commission on the Status of Women à l’ONU New York et négociations sur le Pacte mondial pour l’environnement à l’ONU Nairobi).
De retour en France, en octobre 2018, elle rejoint Europe Ecologie Les Verts, inspirée par les politiques sociales et écologistes de Damien Carême à Grande Synthe et Eric Piolle à Grenoble. Tout en s’investissant dans le parti, elle continue de participer à des actions de désobéissance civile non violente pour le climat. Aujourd’hui elle conduit la liste L’Écologie pour Boulogne Billancourt, composée d’écologistes de différents partis et de citoyen·ne·s.
“Ma génération est parfois réticente à l’engagement au sein d’un parti politique. On préfère les actions plus directes contre des projets polluants ou climaticides. Pour moi ce n’est pas incompatible, il y a un continuum entre la désobéissance civile et l’action dans les institutions. Aujourd’hui nous ne voulons plus influencer nos décideurs, nous voulons les remplacer.”
